Pour mettre en oeuvre la simplicité, intégrons d'abord la complexité. CAP2050, Planète iNNOVONS Patrick GEFFRAULT

CORONAViRUS iNNOVONS POUR LA PLANETE

ViRUS REBELLES
SiDA
EBOLA
GRiPPES
CORONAViRUS
C'est dans les 6 à 24
premières heures que l'on peut "traiter" une attaque virale et éviter à la fois le développement et surtout la propagation du virus. Point.
Une fois le principe posé, qu'est-ce qu'on utilise?
Voilà la question.
Comme on intervient en majorité des cas lorsque les symptômes graves sont "visibles" donc trop tard, les produits préconisés sont de type "ROUND-UP", ils altèrent les défenses naturelles, affaiblissent l'organisme et ont des effets secondaires.
Revenons au postulat de départ.
Une faible dose de molécule active cassera, affaiblira le virus.
A petit foyer d'incendie, petit seau d'eau. La grippe est comparable au feu dans un tas de paille. En le détectant dès le départ on peut le contenir.
Une fois le feu déclaré, il faut des citernes et des citernes d'eau et encore tout sera consumé avant extinction complète.
Deux possibilités:
Ce raisonnement est rejeté en bloc.
Nous n'avons plus rien à nous dire.
Vous êtes attentif, peut-être sceptique ou mieux curieux.
Dîtes-vous que vous n'avez là que la première pierre qui est posée.

Et pour ceux qui n'auraient pas compris: il ne faut pas être les relais des virus, non pas en les transmettant, mais en ne les hébergeant pas de façon confortable. C'est au niveau de chaque hôte qu'il faut agir et réagir. Une solide défense naturelle est le meilleur barrage. Cela se construit au fil des ans. 
Le traitement immédiat qui fait barrage au virus rebelle, qui lui complique la vie est un principe actif qui va à l'opposé du bon sens puisqu'il n'agit pas sur le virus lui même mais sur ses supports et vecteurs. 
A voir la progression mondiale du Coronavirus sans traitement en place à l'heure qu'il est, sans traitement en vue offrant des perspectives flagrantes, nous proposons cette solution sans grand risque et peu coûteuse.
Elle admet que dans les premières heures le virus va se servir des bactéries pour amorcer son attaque de l'organisme hôte, des bactéries qui sont présentes en surface de l'épithélium nasal notamment. Dans le cas de la grippe c'est là que commence l'infection. Cette étape est fondamentale dans le processus de développement du virus. Si elle ne se déroule pas le virus est affaibli dans sa colonisation. L'attaque sera larvée. 
Il convient donc de détruire les bactéries infestées très tôt dans ce processus, avec un simple traitement antibiotique "flash" qui n'a rien à voir avec la cinétique préconisée lors d'une infection bactérienne. La dose est également faible. Ce traitement ne ressemble à aucun et est complètement inattendu par rapport à ce genre d'infection virale.  Même, il ne viendrait à l'esprit d'aucun prescripteur à moins d'avoir fait cette analyse. 
Dans le concret comment cela se passe-t-il pour la grippe? Vous venez de croiser un grippé et dans les heures qui suivent les symptômes de l'état grippal débutent: frissonnement, picotement nasal, éternuement, léger mal de tête… Vous avez 24H pour prendre le traitement, nous dirons par exemple, un demi comprimé de CLAMOXYL 500 de MYLAN, Amoxicilline 500 mg et Acide clavulanique 62,5 mg. Si le lendemain les symptômes n'ont pas disparu, ce qui est rare, renouveler une prise pas plus. On intervient jamais trop tôt, mais l'échec est la preuve d'une intervention trop tardive. 
L'individu ne développera pas la grippe, au pire une grippe atténuée si celle-ci est violente ou si le patient est faible. 
Que se passe-t-il si cette lutte est renouvelée chaque année, à chaque vague grippale? La défense naturelle de l'individu se renforce d'année en année. L'antibiotique s'il est utilisé est venu simplement appuyer la défense naturelle et non s'y substituer. 
Sans dire que le Coronavirus est assimilable à une grippe, le processus initial d'attaque des muqueuses est le même. Les bactéries relais seront les premières atteintes par l'antibiotique parce qu'affaiblies elles-mêmes par le virus. Si le traitement intervient dans les premières heures il sera efficace. 
Certains diront mais les symptômes des premières heures du Coronavirus ne sont pas visibles. Certes. Cependant beaucoup ont décrit un mal de tête, un état anormal, différent de la grippe mais tout autant déstabilisant et toute personne à l'écoute de sa santé saura le déceler. 
Dans le doute et compte-tenu de l'innocuité du traitement, il peut être pris ou administré en prévention, maximum tous les 3 ou 4 jours, fréquence à définir. 
On ne parlera pas de résistance des bactéries à ce traitement, la résistance concerne les traitements longs 5-7 jours, 2 à 3 fois par jour.
L'éternuement et la toux ne sont pas des éléments de confort qu'on utilise à tout va pour se débarrasser du virus. A chaque fois l'éternuement racle le mucus protecteur de la muqueuse nasale et la toux irrite sur son passage offrant une brèche idéale à l'entrée des agents pathogènes. Au passage signalons aussi que la douleur est l'indicateur de la maladie et de la guérison si elle n'est plus ressentie. Si le patient se responsabilise et devient le pilote ORL de son corps il gèrera beaucoup mieux ces premiers instants de la maladie à son avantage en déviant l'éternuement par la bouche, évitant de s'engager dans la quinte de toux, en ne se mouchant pas à l'extrême. Le but de cette analyse est de prouver que le patient doit être acteur de sa santé, ne pas se contenter d'absorber du médicament et que le conseil fait partie de la prescription et a une valeur tout aussi importante que la liste de médicaments qui figure sur l'ordonnance.
Cette communication n'est pas destinée à l'automédication, ni à un usage public, mais elle présente une piste d'étude pour des solutions de traitement relayée par des praticiens, prescripteurs et experts. 
Le traitement préventif et très en amont des infections virales est un volet fondamental dans la lutte contre ces fléaux. Ce maillon fait défaut actuellement dans les programmes mis en place et pourrait améliorer sérieusement les prophylaxies s'il était intégré. 
Sans critiquer l'Homéopathie les dosages qui seraient utilisés ne sont pas comparables. On parle de "microdosage" par rapport à l'utilisation classique de ces substances. 
Enfin, pour protéger ceux qui sont en première ligne, les soignants, le traitement préventif permettrait de ne pas aller au combat la fleur au fusil sans protection. Ce traitement qui finalement confirme la défense naturelle ou le développement atténué de la maladie presque comme un vaccin sécuriserait sérieusement leur intervention. 
Ce traitement "Coup de Pouce" aux défenses naturelles offre la meilleure facilité de mise en œuvre.    

PATRiCK GEFFRAULT  
ANALYSE DE LA PANDEMiE DE COViD-19 
ETUDES pendant 10 années de Biologie Animale, Biologie Végétale, Biologie Cellulaire, Biochimie, Génétique Animale et Végétale, Phytotechnie, Zootechnie, Agriculture et Agronomie. 

A lire: Activez DUCK DUCK AND GO et non GOOGLE, puis lancez la recherche "PROPHYLAXiE CORONAViRUS" 
A lire aussi: Toutes les publications du Docteur Bernard JOUANJEAN sur la Médecine de Prévention 
Et également sur MEDiAPART, l'analyse et les préconisations du Docteur Pierre-Jacques REYBAUD     

PREVENTiON CORONAViRUS

Cette thèse s'appuie sur 30 années d'expérience en dehors des sentiers battus. 
Appliquer un antibiotique en amorce d'une infection virale est carrément hors normes. 
Des expériences sont menées à droite à gauche pour tenter de trouver des bases et des justifications statistiques à de nouveaux traitements. Il ne faut pas oublier de citer ses sources si on propose quelquechose. 
Déconfiner sans traitement préventif, c'est risqué car les individus n'ont aucun recours dans cette phase initiale de l'infection qui est si fondamentale. 

TRAiTEMENT PREVENTiF BASiQUE  

Face au néant proposé aux gens, hors gestes barrière, que faire? 
Les individus que nous sommes doivent travailler pour vivre et de plus en plus disent pour survivre. Les soignants ont-ils bien le choix que de faire leur travail qui est à la fois leur vocation et leur gagne pain? 
Partir dans une lutte contre un virus rebelle sans traitement préventif, c'est comme partir en voiture sans roue de secours. 
Les dosages d'antibiotiques pour lutter contre les bactéries sont élevés. Cela marche. C'est comme si on mettait le feu à un champ pour le désherber. C'est sûr ça marche. Et de dire ensuite, le feu est un bon désherbant. Maintenant à dose fine et précocement les antibiotiques qu'est-ce que ça donne? C'est la question posée. Pour le SiDA, dans le doute on applique le traitement et cela fonctionne. 
Ne pourrait-on pas mener cet essai de traitement préventif auprès d'un public qui a pris des risques et le regrette, ou des personnes qui ont été exposées malgré elles dans le cadre du travail? 
On ne parle pas ici d'automédication mais de pistes de recherche d'un traitement basique abordable, dans le cadre de la prescription. 
L'énoncé est donc le suivant: microdosage antibiotique type pénicilline pour des personnes non allergiques couplé avec une alimentation 100% chaude. Potage chaud, plat chaud et dessert chaud. Pourquoi? Beaucoup mangent tiède, voire froid: salades, sandwichs, or la chaleur apportée par l'aliment est un traitement basique duquel on ne peut s'affranchir. Au contraire, c'est une opportunité à saisir pour le fait que cela ne coûte pas grand chose. Sans rentrer dans le détail, comment s'explique l'effet gastro du COViD-19? Est-ce encore une interaction bactérienne virus-bactérie ? La chaleur d'un repas 100% chaud a le mérite de couper court au phénomène. Encore une fois faisons les essais. 
L'agro-alimentaire a son rôle à jouer car l'alimentation et ce qui tourne autour est une brèche d'attaque du virus. On dit que le malade ne doit pas faire la cuisine pour les autres. Mais tous les produits alimentaires qui n'ont pas subi de process thermique et présentent des points critiques dans leur fabrication, emballage et merchandising peuvent contaminer. Le premier symptôme se manifeste dans les heures qui suivent l'ingestion sous forme d'une légère gastro.
On rejoint donc ici ceux qui prêchent pour la vitamine D. Cette vitamine est particulièrement appréciée par la flore intestinale. L'organisme est un système ouvert sur son environnement et tapissé de micro-organismes en symbiose avec lui. Un virus arrive, il ne passera pas si ce premier rempart immunitaire est en bonne santé.
Enfin dernier point, une banalité, mais protéger ses poumons en évitant les refroidissements de la cage thoracique. Un drap ne suffit pas pour dormir et le choix des vêtements compte. Ceux qui utilisent la laine  polaire le savent. 
En conclusion la lutte contre les coronavirus, pour englober les variants, n'est pas le seul vaccin que l'on attend comme l'arme atomique. Les fronts de lutte sont nombreux. On n'a pas cité l'eau, mais sans parler du traitement, l'eau en général est à surveiller: récipients, têtes de robinets, salles de bain,  sanitaires, pluie, hygrométrie des lieux confinés, etc.

VACCiN OU TRAiTEMENT ? 
Si on attend le vaccin contre le CORONA aussi longtemps que celui du SiDA, on risque d'attendre un long moment.  L'urgence est le traitement. Le traitement de la maladie avancée est lourd et éprouvant. Celui sur lequel il faut se concentrer, c'est le traitement dans les premières heures de la contamination dit par abus de langage "préventif". 
La piste du vaccin est délicate avec un virus aussi protéiforme que le CORONA. Et dans un premier temps le public n'aura pas confiance dans ces nouveaux vaccins. 

Au cours de la première vague CORONA, des médecins généralistes zélés ont communiqué sur leur pratique évoquant la piste antibio. Pour aller plus loin, il y a toute une palette d'antibios à tester dans cette fenêtre de tir que sont les premières heures d'infection: 
Coronavirus : trois médecins généralistes pensent avoir trouvé un possible remède 
13 avril 2020
Deux médecins du Grand Est et une du Nord ont mis en place un protocole de soin à base d’azithromycine. Avec, disent-ils, des résultats sur leurs patients touchés par le Covid-19.  
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http://www.leparisien.fr/societe/sante/coronavirus-trois-medecins-generalistes-pensent-avoir-trouve-un-possible-remede-13-04-2020-8298963.php

https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/coronavirus-l-ordre-des-medecins-met-en-garde-contre-des-experimentations-de-traitements-6816104      

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